La possible arrivée de Rayan Cherki en équipe d’Algérie a été noyée aussi vite qu’elle a refait surface.
Depuis que le chargé de communication de la Fédération algérienne de football (FAF), Saïd Fellak, a annoncé la décision de trois binationaux de rejoindre l’équipe nationale en septembre, les spéculations vont bon train sur l’identité des potentielles nouvelles arrivées. Selon La Gazette du Fennec, qui cite une source sûre, seulement deux renforts sont finalement attendus à Sidi Moussa.
Sur les cinq à six joueurs envisagés, la FAF a touché au but pour deux éléments, informe LGF. Les discussions avec ces derniers seraient en effet à un stade avancé. Il y aurait même des accords. En outre, les démarches de changement de nationalité sportive auraient été déjà amorcées. Le site algérien n’a pas dévoilé de noms, mais a livré des indices. L’un a joué avec les équipes jeunes de France, tandis que l’autre n’est pas binational français.
Pas de Cherki, ni d’Olise
Alors que l’optimisme était de mise chez supporters supporters concernant Rayan Cherki, LGF a douché les espoirs en écartant d’ores et déjà l’arrivée du milieu de l’équipe de France U23 (20 ans, 2 sélections). Idem pour son compère chez les Bleus Olympiques, Maghnes Akliouche (22 ans, 2 sélections), et l’ex-international Espoirs français Michael Olise (7 sélections, 1 but).
Espérée depuis plusieurs mois par les Algériens, l'éventuelle venue de Cherki se voit donc repoussée. À noter que le meneur de jeu de l’OL n’a pas été retenu par Thierry Henry pour disputer les Jeux Olympiques, à l'inverse d'Olise et Akliouche, même si la situation pourrait évoluer jusqu’au 3 juillet, date d'envoi de la liste finale. Si son absence venait à être définitive, une possible arrivée en Algérie pour l’après-septembre serait-elle davantage envisageable ?