Algérie : les 2 confidences de Petkovic après l’Ouganda

Publié le par

Lundi au Stade Nelson-Mandela de Kampala, l'Algérie a pris le scalp de l'Ouganda sur le score de 2 buts à 1, pour le compte de la 4e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026. En conférence de presse d'après-match, le sélectionneur Vladimir Petkovic a fait quelques confidences…

Ce succès, qui permet aux Verts de compter 9 points en 4 rencontres et de figurer en tête du groupe G, était indispensable après la défaite 2-1 contre la Guinée jeudi dernier. Mais il ne s'est pas construit dans la sérénité la plus totale, puisque les Fennecs étaient menés 1-0 dès la 10e minute de jeu, suite à l'ouverture du score de Travis Mutyaba. Les visiteurs ont souffert en première période.

“On savait que le match allait être difficile, et ce qu’on a vu l’a confirmé, surtout en première période, où on a manqué de précision. On a raté des passes. On a commis deux ou trois fautes et on l'a encore vérifié, à chaque fois qu'on fait une erreur, on paye ça cash”, a admis Petkovic, avant de lâcher douloureusement : “Si on regarde la première période du premier match contre la Guinée et celle d’aujourd’hui, on aurait dit qu’on n’a jamais joué ensemble.”

“On a parlé avec les joueurs à la mi-temps…”

Mais les Fennecs ont bien réagi ensuite et “les deuxièmes périodes étaient différentes”, comme l'a a noté Petkovic. Houssem Aouar (46e) et Saïd Benrahma (58e) y sont ainsi allés de leur but, permettant à la sélection algérienne de s'imposer.

Un déclic qui peut s'expliquer par les échanges entre le technicien et ses joueurs durant la mi-temps. “On a parlé avec les joueurs à la mi-temps, on a dit que la deuxième doit être meilleure. Il fallait oublier ce qui s’est passé durant la première et tout donner. On a réussi ça grâce à notre qualité. On doit être plus relaxe, tout en restant concentrés. La concentration doit rester au max”, a expliqué le technicien, qui respire un peu mieux avec ce succès.

Algérie : les 2 confidences de Petkovic après l’Ouganda

Anthony Olivier

Explorateur et gratte-plume du football africain, j'aime brosser le portrait des nouvelles pépites du continent.