Le directeur du développement du football mondial à la FIFA, Arsène Wenger, n’a pas été avare de compliments à l’égard du Maroc en marge de la CAN U17 2025.
Depuis le 30 mars dernier et le coup d’envoi de la CAN U17 2025, Arsène Wenger a souvent été aperçu en tribunes, assistant consciencieusement aux matchs du tournoi. Alors que ce dernier prend fin samedi prochain avec une finale entre le pays hôte, le Maroc, et le Mali, l’ex-entraîneur emblématique d’Arsenal, officiant désormais à la FIFA depuis 2019 en qualité de directeur du développement du football mondial, a adoubé le royaume de par son développement footballistique ces dernières années.
L’Alsacien connu pour son sens de l’observation et ses analyses pointus, a loué le travail réalisé aussi bien du point de vue humain que de celui matériel, lui-même reflété à travers les résultats sportifs ayant pour point de départ les demi-finales de la Coupe du monde 2022.
« Le Maroc c’est le bijou de l’Afrique », soutient Wenger
On pense à l’attrait accru de l’équipe A pour les binationaux, au point de générer parfois la frustration voire l’envie des nations rivales, la coorganisation du Mondial 2030 avec l’Espagne et le Portugal, ou encore à la construction de stades à la pointe, dont le stade Hassan II de Casablanca qui se veut être le grand au monde (115 000 places), et qui verra le jour en 2028 en prévision du centenaire de l’édition.
« Le Maroc c’est un peu le bijou de l’Afrique actuellement, par rapport à l’évolution du football. Ils travaillent très très bien. Ils mettent des moyens humains et matériels pour se développer. Et surtout ils ne négligent pas ce qui est pour moi le plus important pour un pays, l’éducation et le développement de la jeunesse », a encensé Wenger en marge d’un colloque organisé dans le pays. Voilà qui devrait faire plaisirs aux supporters.
