Inter-Milan : des rites vaudou au cœur de l’altercation Zlatan-Lukaku

Publié le par

Quand deux colosses se font face ! Mardi, juste avant la mi-temps du quart de finale de Coupe d’Italie entre l’Inter Milan et le Milan AC (2-1), le ton est monté entre Romelu Lukaku et Zlatan Ibrahimovic, qui se sont retrouvés front contre front.

Il faut dire que l’attaquant suédois a su trouver les bons mots pour piquer son homologue nerazzurro dans ce derby. «Appelle ta mère et allez faire vos rites vaudou de merde, petit âne», a ainsi lancé l’ancien Parisien en direction du Belge, ce qui a eu le don de le faire sortir de ses gonds. Ces mots sont loin d'être anodins puisqu'ils font référence à un épisode remontant à 2017 lorsque Lukaku avait quitté Everton.

L'actionnaire majoritaire des Toffees, Farhad Moshiri, avait alors expliqué le départ du buteur pour des motifs pour le moins inattendus. «Romelu a appelé sa mère et a dit qu'elle était en pèlerinage en Afrique, qu'elle avait vu une sorte de vaudou qui disait qu'il devait signer en faveur de Chelsea (il rejoindra finalement Manchester United, ndlr)», avait expliqué l'homme d'affaires.

Piqué, Lukaku a été à deux doigts d’en découdre avec Zlatan au moment de rentrer aux vestiaires, lui qui a lâché : «Je t'emmerde, toi et ta femme. On parle de ta mère ? C'est une p****. Tu veux parler de ma mère sale fils de **** ? Je te tire une balle dans la tête» , avant d’être retenu par ses coéquipiers. Cette altercation vaudra un carton jaune aux deux hommes avant que le Scandinave ne soit expulsé en seconde période après une faute sur Kolarov. Tendu !

https://twitter.com/datbwoy_/status/1354310374120685568

Inter-Milan : des rites vaudou au cœur de l’altercation Zlatan-Lukaku

Rédaction

Issa Hayatou, Ahmad Ahmad, Patrice Motsepe… Lancée en 2010, la rédaction d’Afrik-Foot en a vu défiler des présidents de la CAF. Sa plume peut parfois être acerbe mais elle a toujours le même objectif : œuvrer au développement du football africain, sans rien cacher de ses réussites comme de ses faiblesses.