Alors que Walid Regragui a été conforté pour la Coupe d'Afrique des nations 2025 par son président Faouzi Lekjaa, des révélations ont été faites concernant un projet abandonné du patron de la FRMF.
Et non, ce n'est pas un poisson d'avril. Aussi fou que cela puisse paraître, la Fédération royale marocaine de football aurait bel et bien ambitionné de s'attacher les services de l'actuel entraîneur du Paris Saint-Germain, Luis Enrique, comme sélectionneur des Lions de l'Atlas.
Un rêve entretenu par Lekjaa
En coulisses, cette ambition aurait longtemps animé le patron du football marocain, Faouzi Lekjaa. Selon le média marocain Soccer 212, le président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) a un faible pour le coach espagnol et aurait sérieusement pensé à lui l'année dernière. Le plan était simple : si le Qatar, propriétaire du PSG, décidait de se séparer de Luis Enrique, alors contesté à Paris, la FRMF aurait tenté sa chance avec sa victime des 8es de finale de la Coupe du monde 2022. Une information qui paraît quelques heures après une autre rumeur folle concernant un remplaçant de Walid Regragui.
Mais entre-temps, Luis Enrique est pleinement parvenu à imposer sa patte au PSG cette saison. Avec un effectif renouvelé et un jeu séduisant, le technicien asturien est en train de redonner au club parisien une stature européenne, au point d’être en lice pour un potentiel triplé Ligue 1 – Coupe de France – Ligue des Champions.
Un rêve abandonné
Avec ce succès grandissant au PSG et de sa récente prolongation jusqu'en juin 2027, l’option Luis Enrique s’est peu à peu éloignée pour le Maroc. Toujours selon Soccer 212, Lekjaa voyait en lui le profil idéal pour prendre la relève de Walid Regragui si ce dernier venait à échouer à la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, organisée au Maroc en 2025.
Alors que le Maroc traverse une période de turbulences après ses récentes performances mitigées, Regragui reste sous pression. Mais malgré les critiques, le sélectionneur national bénéficie du soutien indéfectible de Lekjaa. Le dirigeant a récemment réaffirmé sa confiance en son entraîneur, insistant sur la nécessité de stabilité en vue des prochaines échéances.
