PSG : Al-Khelaïfi explique sa présence au Maroc

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Au lendemain de la victoire du PSG contre le Borussia Dortmund mardi en Ligue des Champions (2-0), le président du Paris Saint-Germain, Nasser Al-Khelaïfi, s’est rendu au Maroc. Dans une brève interview, le dirigeant qatari a levé le voile sur l’objet de son voyage.

Mercredi, “NAK” a effectué un déplacement au Maroc. Le patron du PSG a précisément posé pied à terre à Salé, au Complexe Mohammed VI, fief de l’équipe du Maroc. Selon les informations de beIN Sports – chaine appartenant à BeIn Media Group, présidé par Al-Khelaïfi –, il s’agissait d’une visite « pour soutenir les efforts de secours en solidarité avec le peuple marocain suite au tragique tremblement de terre qui a récemment frappé le pays (le 8 septembre) ».

Le Maroc, « deuxième pays » d’Al-Khelaïfi

La veille, beIN Media Group avait déjà annoncé « son soutien aux efforts de secours au Maroc et en Libye en coopération avec Qatar Charity pour lancer une campagne de dons sur tous les canaux beIN Sports (et) contribuer à soulager les souffrances de milliers de personnes touchées » par le séisme. À son arrivée, “NAK” a reçu un accueil chaleureux de la part du président de la Fédération marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa, qui lui a fait visiter le Complexe. Les deux hommes ont également discuté de plusieurs questions liées aux relations entre les deux parties.

« Je me trouve actuellement dans mon deuxième pays, le Maroc, en soutien à nos frères marocains et ce pays ami, a déclaré NAK au micro de beIN Sports. Je représente également le Paris Saint-Germain. Votre tragédie est la nôtre. Espérons que vous serez tous sains et saufs. Nous serons toujours à vos côtés. » De quoi faire chaud au cœur à Achraf Hakimi, héros marocain de la victoire du PSG mardi en Ligue des Champions (2-0).

PSG : Al-Khelaïfi explique sa présence au Maroc

Prudence Ahanogbe

Couteau suisse de la rédaction footballistique, je perce mon trou grâce au dépassement de soi. Sur mon versant gauche, un don indescriptible pour l’écriture, un peu comme Messi, et sur le versant droit, beaucoup de travail, à la Cristiano Ronaldo.