RDC : après sa sortie sur Ibenge, Mulumbu met les choses au clair

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Après avoir affolé la toile par ses propos sur le passage de Jean Florent Ibenge à la tête de l’équipe nationale de la République démocratique du Congo, le capitaine des Léopards, Youssouf Mulumbu, est revenu sur ses déclarations afin de dissiper tout malentendu.

Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, Youssouf Mulumbu affirme avoir fait part de ses critiques directement à Florent Ibenge avant son départ de la tête de la sélection. Il ajoute que sa déclaration ne visait à enlever aucun mérite à l’entraîneur de l’AS Vita Club.

«Si j’ai été critique envers certaines décisions sportives du coach Florent Ibenge, ayant eu la chance de côtoyer de nombreux sélectionneurs depuis que je suis en équipe nationale, critiques que j’ai d’ailleurs eues l’occasion d’exprimer directement à l’intéressé en son temps, en aucun cas il était question d’enlever nul mérite de son apport en équipe nationale», a-t-il insisté.

S’agissant de sa déclaration sur le fameux 10 % de primes que les joueurs paieraient pour être sélectionnés en équipe nationale, Mulumbu assure que sa déclaration a été sortie de son contexte.

La mise au point sur les «10% prime»

«De plus, je n’ai pas affirmé que le sélectionneur aurait touché des % pour des sélections ou autres considérations envers l’équipe nationale pour laquelle mon engagement et mon dévouement ne sont plus à démontrer. Ne sortons pas de leur contexte des paroles tenues lors d’un live Instagram, d’environ 2h30, dont le but était autre que d’amener à des polémiques infondées», ajoute-t-il .

Face aux critiques des internautes, le milieu de terrain actuellement libre de tout contrat, apaise l’opinion : «un live, où d’ailleurs a été aussi vantée et précisée l’évolution positive des choses autour de notre football, bien qu’on puisse toujours progresser, les illustres anciens avec qui j’ai eu l’honneur à évoluer ou encore les plus jeunes que j’ai eu plaisir à parler de l’intérêt de défendre les couleurs du pays et plein d’autres anecdotes que seul la RDC peut offrir !», conclut-il.

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Enock Bulonza