Après avoir limogé Henryk Kasperczak du poste de sélectionneur, la Fédération tunisienne (FTF) tente toujours de convaincre le Franco-Polonais de s’entendre au sujet d’un départ à l’amiable, indique la presse tunisienne. Cependant, la FTF ne propose que 3 mois de salaires comme dédommagement, là où le technicien souhaite percevoir l’intégralité de ses dus, jusqu’en juin 2018, terme initial de son contrat.
Pour ne rien arranger, l’ancien sélectionneur du Mali a évidemment peu apprécié que l’instance lui demande de passer un test médical afin de trouver éventuellement une excuse pour le limoger. Il était aussi question de la constitution d’un dossier à charge pour “faute grave”… Pour rappel, Nabil Maaloul devrait succéder à Kasperczak à la tête des Aigles de Carthage.